Présentation du site et desciption de l’édifice

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Localisation

L’ancien prieuré Saint-Etienne d’Allichamps est situé en Région Centre-Val de Loire, dans le département du Cher (18), à 35 km au Sud de Bourges, sur la commune de Bruère-Allichamps. Il prend place sur la rive droite d’un méandre de la rivière du Cher dans un environnement agricole, à 2km environ du bourg.

Source: Google.earth.fr

Source: Cadastre.gouv.fr

Inscrit au titre des Monuments Historiques par arrêté du 19 février 1926, le prieuré est ensuite classé en totalité par arrêté du 9 août 2007. Il est la propriété de la commune de Bruère-Allichamps depuis 1985.
Édifié au milieu du XIIe siècle, le prieuré de Bruère-Allichamps a connu une histoire mouvementée, (multiples phases de construction, démolition et réédification, changements d’usages) sur laquelle nous reviendrons dans la seconde partie de ce chapitre.
Le prieuré prend place au cœur d’une exploitation agricole, toujours en activité, composée de plusieurs bâtiments anciens (dont la présence est attestée sur les cartographies du milieu du XVIIIe siècle) et d’hangars modernes couverts en tôles.

Plan

Le programme initial de l’église prieurale devait être celui d’un édifice suivant un plan bénédictin, composé d’un chevet à abside et deux absidioles, d’un transept, et d’une nef à travées, flanquée de collatéraux accessibles depuis le transept par les passages berrichons. Les vestiges, sur les piles de la croisée, d’arcades tournées vers la nef témoignent de ce projet initial de nef à travées mais l’absence de vestiges de fondations d’autres piles dans la nef4 indique que le programme initial ne fut pas mené à terme, sans doute pour des soucis d’économie ou en raison du contexte historique du Berry à la fin du XIIe siècle (région frontalière aux affrontements entre le roi de France et le duc d’Aquitaine).
L’église devait donc être composée d’un choeur, d’une grande richesse architecturale, et d’une nef unique, probablement charpentée, issue d’un second programme plus modeste, assumant le remploi de la façade occidentale plus ancienne, avec sa largeur de nef plus étroite, par soucis d’économie. Aujourd’hui, plusieurs vestiges subsistent de cette église : le chevet et le transept, la façade Ouest et la portion occidentale de la nef, les arrachements de l’ancienne nef visibles au droit des bras de transept. L’église du prieuré d’Allichamps présente un plan en croix latine avec une orientation Nord-Est/Sud-Ouest. Ce plan simple, typique de nombreuses églises berrichonnes, est composé d’une nef unique, à charpente apparente, et d’un transept saillant sur lequel s’ouvre l’abside semi-circulaire, voûtée en cul-de-four du chœur. La croisée du transept correspond à l’emplacement de l’ancien clocher. Depuis les bras du transept, l’abside est encadrée par une absidiole, voûtée en cul-de-four au Sud, et par un appentis agricole moderne au Nord.
Deux passages dits « passages berrichons » relient la nef aux bras du transept, sans passer par la croisée. A la moitié de sa longueur, la nef présente un rétrécissement des murs gouttereaux vers l’Ouest. Ce décalage, ainsi que l’antériorité supposée (voir plus loin) de la façade occidentale du prieuré, nous amène à faire l’hypothèse d’une réutilisation d’un édifice préroman contre lequel aurait été adossé le projet du XIIe siècle, plus large dans son emprise, entraînant cette discontinuité en plan qui témoigne de l’inachèvement du projet du XIIe siècle. Dans la partie occidentale de la nef, un mur de refend à mi-hauteur abrite un local dédié à l’association des amis du Prieuré et soutient une tribune en bois

Une fosse archéologique est présente contre le gouttereau Sud.
Elle présente tombeau es sarcophages découverts lors des fouilles faites dans les années 1990.

Les accès

L’accès principal à l’église s’effectue par une porte piétonne percée dans le gouttereau Nord, s’ouvrant dans la partie occidentale rétrécie de la nef. Cette porte, à jambages et linteau en pierre de taille, prend place à l’emplacement d’un portail plus ancien dont reste le vestige partiel.

Trois autres accès desservent l’édifice :

  1. Une large porte cochère de grange, avec jambages en pierre de taille et linteau bois, est percée dans le gouttereau Nord et donne accès à l’espace le plus large de la nef. Elle date vraisemblablement de la reconstruction, au XIXe siècle, de la nef écroulée,
  2. Une porte percée dans la façade Ouest, donnant dans le local associatif sous la tribune, prenant elle-aussi place à l’emplacement d’un plus grand portail dont on devine le fantôme (claveaux de l’arc en plein cintre visible à l’intérieur également) et qui devait être l’accès principal de l’église d’origine,
  3. Une porte couverte d’un arc surbaissé, sur la façade Ouest du bras Sud du transept, donnait accès à l’ancien cimetière.

Les couvrements

Les couvertures du prieuré sont très hétéroclites et résultent de plusieurs campagnes de travaux et de restauration. Les plus anciennes couvertures encore visibles sont celles de l’abside, de l’absidiole Sud et des transepts, couverts en lauzes locales. Pour autant, ces couvertures en lauze ne correspondent pas aux couvertures d’origine de l’église (autrefois couverte en petites tuiles plates). La nef est couverte par une couverture moderne en tuiles mécaniques. L’appentis Nord est couvert en petites tuiles plates.

La croisée, autrefois surmontée par un clocher, présente aujourd’hui une toiture complexe, dévalorisante et défaillante à 5 pans : 4 pans en petites tuiles plates traditionnelles (à l’Est) et un pan en bac acier, posé en tant que couverture provisoire (à l’Ouest).

Les percements

Le chevet de l’église présente plusieurs baies romanes, en pierre de taille et couvertes en plein cintre. Les pignons des transepts sont ainsi percés d’une baie d’axe, encadrée, de part et d’autre, d’une colonnette engagée à chapiteau sculpté à l’intérieur. L’absidiole Sud présente également une baie d’axe en plein cintre, ainsi qu’une petite baie agricole moderne en partie basse. L’abside est percée de trois baies sobres reposant sur un bandeau en pierre de taille à l’intérieur et à l’extérieur. Des vestiges de décors peints intérieurs à motif de faux-appareillages sont visibles en embrasure de la baie Sud-Est.
A l’extérieur, elles sont également soulignées en partie haute par une frise à billettes qui règne, entre baies, au droit des naissances des arcs et accompagne les pleins cintres en soulignant les modénatures. La nef présente plusieurs petites baies simples percées dans ses murs gouttereaux et près de la porte du local associatif. Ce sont vraisemblablement des petits jours issus des remaniements agricoles du XIXe siècle.

Les façades

Le chevet du prieuré d’Allichamps présente une richesse architecturale et sculpturale d’une grande beauté. Composé à l’origine d’une abside et de deux absidioles symétriques, il présente aujourd’hui une silhouette déséquilibrée suite au remplacement de l’absidiole Nord par un appentis agricole. L’ensemble du chevet et des transepts constituent les principaux vestiges de l’église romane primitive, avec la façade occidentale. Ils sont construits en pierre de taille de moyen appareil, provenant des carrières locales de La Celle et de Bruère, seules les parties centrales des pignons des transepts étant bâties en moellons équarris. Les bras du transept sont marqués aux angles par d’imposants contreforts terminant en tête par des glacis monolithes clavés : contrefort double aux angles Ouest et contrefort d’angle avec retour d’équerre aux angles Est.
Hormis les corniches à larges tablettes reposant sur des modillons sculptés des élévations latérales, les transepts présentent une architecture d’une grande sobriété. On retrouve ces corniches, alternant modillons figurés et modillons à copeaux d’une qualité exceptionnelle, en partie haute des élévations de l’abside et de l’absidiole Sud, ce qui contribue à harmoniser l’ensemble du chevet. A contrario, le chevet présente un travail soigné des modénatures. La façade est rythmée par quatre contreforts-colonnes reposant sur des bases carrées et couronnés par des chapiteaux aux décors variés et élégants. L’abside est aussi animée par trois bandeaux : le premier distinguant le soubassement en moellons assistés des maçonneries en pierres de taille, le second marquant l’assise des baies, le troisième soulignant la partie haute des baies par une frise à billettes, le dernier soulignant l’assise des modillons. Les corniches de l’abside se distinguent des autres par une frise d’oves et de petites perles. L’appentis Nord est construit en maçonnerie de moellons enduits et fermé par une large porte de grange en bois qui nuit à la présentation générale du chevet.

Les murs gouttereaux de la nef sont issus de multiples remaniements et ne présentent pas de qualité architecturale particulière. Ils sont construits en moellons équarris partiellement enduits et percés simplement par de petites baies rectangulaires.
L’élévation Ouest présente une architecture très sobre, celle d’un pignon aveugle, encadré par deux contreforts bas et simplement percé par une porte et une petite baie moderne. Cette élévation est plus ancienne que la partie centrale de la nef et présente plusieurs vestiges : fantôme de l’ancien portail de l’église primitive, maçonnerie en opus spicatum, stèle gallo-romaine qui font penser à une mise en œuvre antérieure à celle du chevet (hypothèse d’un édifice préroman). On remarque également que la partie haute du pignon a vraisemblablement été surélevé.

Vue sur le chevet du prieuré de Bruère-Allichamps (ci-dessus) et sur le gouttereau et le transept Nord (ci-dessous)

Les intérieurs

Les intérieurs de l’édifice sont très sobres. La nef est couverte d’une charpente apparente en bois à trois fermes, de même que la croisée, couverte par une charpente sommaire en bois. Cette croisée est encadrée par quatre piles composées, à noyaux cruciformes et colonnes engagées. Ces piles présentent des chapiteaux richement sculptés et soutiennent des arcs brisés à doubles rouleaux (trois arcs séparant la croisée de l’abside et des transepts), à l’exception de l’arc triomphal entre la nef et la croisée, disparu et remplacé par un arc segmentaire moderne en briques. Les transepts sont voûtés en berceau brisé tandis que l’abside et l’absidiole Sud sont voûtées en cul-de-four. Les passages dits « berrichons » sont couverts par des arcs en tiers-points. Une fosse archéologique, séparée par un petit muret, a été aménagée contre le gouttereau Sud à l’intérieur du volume de la nef.

De nombreux sarcophages, issus des différentes campagnes de fouilles, sont aujourd’hui stockés dans le bras de transept Nord, et contre l’élévation extérieure Nord.

Chronologie de la construction

Comparaisons analytiques

L’église du prieuré d’Allichamps fut édifiée au cours du XIIe siècle suivant un plan bénédictin qui s’inscrit dans le modèle roman du Berry. L’édifice reste modeste dans ses proportions et propose une version simplifiée du modèle bénédictin.

Vue sur l’arc de la croisée (aujourd’hui repris en briques) et les « passages berrichons » depuis la nef

Il est intéressant de resituer l’ancien prieuré d’Allichamps dans un corpus plus large de types architecturaux comparables, édifiés à la même période et dans un périmètre géographique proche.
Les passages « berrichons », qui sont particulièrement magnifiés dans le prieuré d’Allichamps, se retrouvent fréquemment, dans des dispositions d’ordinaires bien plus modestes, dans les églises de la région. C’est notamment le cas de l’église de Marie Immaculée d’Achères ou de l’église Saint -Georges de Saint-Jeanvrin.

Passages berrichons de l’église Marie Immaculée d’Achères

Passages berrichons de l’église Saint Georges de Saint Jeanvrin

Bien que disparue aujourd’hui, la charpente en anse de panier lambrissée de la nef, décrite dans un devis de 1744, est également une caractéristique du Berry que l’on retrouve dans l’église collégiale Notre-Dame de Mehun-sur-Yèvre ou l’église Saint-Michel de Chârost.

Ces deux églises présentent également des passages berrichons

Eglise collégiale Notre Dame de Mehun sur Yèvre

Eglise St Michel de Chârost

Les dispositions extérieures sont également une interprétation d’un modèle que l’on retrouve sur de nombreux édifices romans du Berry.
Le chevet, rythmé verticalement par les contreforts-colonnes et horizontalement par les bandeaux, présente des chapiteaux et modillons au programme sculptural remarquable. Les exemples de chevets rythmés de la même façon (églises de Saint-Pierre-les-Etieux, Marie Immaculée d’Achères, Saint-Georges de Saint-Jeanvrin, prieuré Saint-Amboise à Saint-Léon) sont rarement aussi aboutis en termes de matérialité et de programme sculptural.

La façade occidentale, très sobre et caractérisé par une maçonnerie de petit appareil avec assises en opus spicatum. Elle contraste avec la recherche de détail du chevet, et semble datée d’un édifice préroman. L’élévation actuelle fait apparaître une modification de la volumétrie de la nef ayant entraîné le chemisage du pignon primitif et sa surélévation. Elle présente des similitudes avec la façade de l’église St-Clément de Guye, datée du Xe siècle ainsi qu’avec l’abbaye Saint-Martin de Plaimpied, à laquelle était rattachée le prieuré. La stèle romaine du pignon occidental trouve un écho dans la façade de l’église de Venesmes présentant des stèles romaines à l’extérieur et à l’intérieur. Le programme sculptural d’une grande richesse, notamment le thème du chapiteau de l’engoulant se retrouve également sur une colonne de baie de l’église de Dun-sur-Auron.

Chevet du prieuré de Bruère-Allichamps

Chevets de l’église Notre-Dame de Vernay et abbatiale Saint-Martin de Plaimpied

Chevets de l’église de St Pierre les Etieux et du prieuré de St Amboise à St Léon

Façades occidentales de l’église de St Clément de Guye et dur prieuré de Bruère-Allichamps

Chapiteau «L’engoulant» de Bruère-Allichamps et de l’église de Dun-sur-Auron

Stèle romaine du pignon occidental de Bruère-Allichamps, stèles intérieure et extérieure de l’église de Vensemes

Traces archéologiques

Arrachements de maçonneries et vestiges de faîtages

Les maçonneries extérieures et intérieures portent les traces des diverses transformations subies par l’édifice
On remarque ainsi, sur la façade occidentale du transept, les arrachements des murs gouttereaux de la première nef de l’église ; la reconstruction, à la fin du XIXe siècle, de la partie écroulée de la nef s’étant faite sans reprendre l’épaisseur totale de ces arrachements.

Par ailleurs, les couvertures en lauzes du chevet et des transepts résultent du remplacement des couvertures en tuiles d’origine, au milieu du XIXe siècle. En plus de modifier la matérialité des couvertures, cette intervention a également impacté la volumétrie générale des toitures en diminuant l’inclinaison des versants et en abaissant le faîtage de l’abside et des absidioles. Les fantômes des rives et faîtages des toitures d’origine sont visibles sur les maçonneries du transept et de l’abside.

Arrachements des gouttereaux de l’ancienne nef et fantôme du faîtage de l’absidiole Sud

Éléments de décors

Le prieuré Saint-Étienne présente un remarquable programme sculpté que l’on retrouve sur les chapiteaux des piles intérieures de la croisée ainsi qu’à l’extérieur, sur les chapiteaux des contreforts-colonnes et les modillons supportant les corniches de l’abside, du transept et de l’absidiole Sud. Les décors des chapiteaux sont particulièrement variés et tous différents : chapiteaux à feuilles simples, à feuillures nervurées, corinthien et dérivé du corinthien. On observe également des chapiteaux plus ouvragés à rinceaux ou à lions affrontés ainsi qu’un original chapiteau dit « l’engoulant » au niveau du transept Sud. Les modillons présentent des décors simples, à copeaux ou figurés. La façade de l’abside est également soulignée par plusieurs frises d’oves et de petites perles ou à billettes.

En haut : chapiteaux dit « l’engoulant » et à rinceaux des piles de la croisée

En bas : Chapiteau à lions affrontés du prieuré (à gauche) et de l’abbaye de Plaimpied (à droite)

La variété de factures de ces ouvrages est à noter, allant d’une extrême simplicité (feuilles d’eau) à une grande dextérité (lions affrontés), ce qui indique que la construction s’est faite en sollicitant plusieurs équipes de sculpteurs, avec la probable intervention des sculpteurs de l’abbaye de Plaimpied, dont la similitude est grande pour les plus ouvragés. Deux éléments remarquables sont également visibles en façade : une petite stèle romaine posée dans une niche au centre de la façade Ouest, dans l’axe du pignon primitif et un cadran solaire gravé dans la pierre sur le contrefort Ouest du pignon du transept Sud. La façade Ouest présente des maçonneries en opus spicatum, que l’on ne retrouve pas sur le reste des élévations du prieuré, relevant de mises en œuvre plus anciennes.
Enfin, on retrouve des vestiges de badigeons blancs ainsi que des vestiges de décors peints à motif de faux appareillage rouge à plusieurs endroits du chevet du prieuré (chapiteaux de la croisée, intrados du transepts Sud, arc de l’ancienne absidiole Nord, embrasure de la baie d’axe de l’abside…). Ces décors sont d’une haute valeur patrimoniale et sont à conserver et à mettre en valeur.

Petite stèle romaine et opus spicatum sur la façade Ouest, cadran solaire sur le transept Sud

Vestiges de décors peints à motif de faux appareillage et d’anciens badigeons blancs

Le mobilier et le trésor

Le prieuré Saint-Étienne d’Allichamps, ayant été désacralisé, ne dispose ni de mobilier liturgique ou menuisé ni de collection statuaire.

On peut cependant noter la présence, sur le mur gouttereau Sud, d’une plaque commémorative adressée à «Mr. Gaston Petit, bienfaiteur de ce prieuré d’Allichamps».

Par ailleurs, l’édifice abrite plusieurs sarcophages découverts lors des différentes campagnes de fouille. Certains sont entreposés dans le transept Nord , d’autres, à l’extérieur, le long du mur gouttereau Nord.
De forme souvent trapézoïdale, ils sont tous en calcaire local.  Certains décorés d’une croix pâtée dans un cerle ou d’une croix pâtée sur hampe dans la tradition mérovingienne.
Ces stèles de toutes dates confondues et de tout type (adultes, adolescents et enfants), parfois richement décorées démontrent la longévité de l’utilisation du site.

Soure: Cahier d’archéologie et d’histoire du Berry  – Publciation N°95 – Décembre 88

Une plaque funéraire du XVème, représentant Odylle de Larnay, de son vivant escuyer, Seigneur de la Chatelette, et son épouse Marguerite; aujourd’hui conservée et exposée au Musée du Berry a été prélevée du site mais témoigne de la richesse passée de ses occupants.

S’y trouvent également les objets – essentiellement les restes de poteries découvertes dans les sépultures – et d’autres objets d’art découverts sur le site lors des fouilles précédentes : bagues, chapelets en os, pièces de monnaies (dont une monnaie rare de Magence (Empereur de 349 à 353) retrouvée lors de sondages dans les structures romaines sous la porte latérale Nord).

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